Il faudrait, de temps en temps, prendre un homme (ou une femme politique), de quelque bord qu'il ou elle soit et lui infliger d'éprouvants tourments physiques en public.
La colère me saisit lorsque je lis partout ces critiques du diesel qu'on nous a imposé en France et qu'on veut taxer (avant de le supprimer) aujourd'hui.
Je me souviens que les premiers moteurs diesel (ceux des taxis en particulier) étaient bruyants et sales. Il a fallu beaucoup d'imagination et de travail aux constructeurs automobiles pour que le parc Français soit composé de plus de 70% de véhicule fonctionnant avec ce carburant en 2012.
Que je sache je n'ai pas rêvé en voyant les prix aux pompes à essence facturer moins cher le diesel que le "super"? que je me souvienne mes employeurs, poussés par l'Etat, me contraignaient bien à prendre des voitures fonctionnant au diesel alors que j'ai toujours été pour les véhicules essence...
Le "bal des faux culs" a commencé et de la mère Royal aux khmers verts on crie haro sur le diesel et on envisage de nouvelles taxes pour punir ceux qui n'ont fait que ce qu'on leur préconisait...
Nous avons, nous Français, fait figure d'exception en prônant cette motorisation dont tout le monde savait (malgré d'énormes progrès) qu'elle polluait plus que les autres.
L'industrie automobile Française misait sur cette caractéristique pour conserver des parts de marché que ses modèles ne suffisaient pas pour conquérir ou conserver des marchés étrangers.
J'ai le souvenir de voiture minuscules et laides (Visa, Renault 9 etc.) qui produisaient des bruits de moulins à café tout en recrachant des nuages de fumée noire le tout vanté par des Séguéla sous l'oeil bienveillant de Bercy et du Louvre (ou le ministère des finances se trouvait avant).
Le culot des politiques et du lobby écolo est sans fond. sous prétexte d'environnement ils nous feront rouler dans des autocars macron roulant à l'éthanol, voyager dans des trains à voile et voler dans des avions à pédales. Alors que le carburant est taxé à 60% par l'Etat il faut être sacrément culotté pour culpabiliser (puis rançonner) le consommateur.
Moi je suis à fond pour le goudron et les plumes pour les tartuffes de l'environnement.