Révolution de palais au Parti communiste français: un apparatchik en remplace un autre. Le précédent, terne et inconséquent était lui-même fils d'un ancien membre de la direction stalinienne des années 70.
Ces gens là n'ont plus que quelques électeurs indécrottables et quelques nostalgiques de la Russie des Soviets, des purges, du goulag et de la dictature du prolétariat comme "compagnons de route". 2% des bulletins exprimés aux dernières législatives...
Il n'empêche que chez les "insoumis" on garde un œil sur ces conservateurs en béton armé qui se voient cependant comme "force de progrès". Ils ont tellement menti et cru à leurs mensonges que même ceux qui n'ont pas connu le Place du Colonel Fabien à l'époque où elle pesait plus de 20% des suffrages croient que leur idéologie à la fois mortifère et moribonde a un avenir!
Même chose -je l'espère- pour l'un des fléaux du XXème siècle encore actif: la psychanalyse. On assiste à un dégonflement continu de la baudruche mais les derniers servants ont le baroud d'honneur agressif.
Avec le temps (mais sans Léo ferré) chacun est à même de constater la supercherie de cette pseudo-science; le charlatanisme de ses fidèles et, tout en haut, l'absurde prétention de Papy Freud.
Il en aura fallu du temps pour accepter enfin l'évidence: la psychanalyse fait autant de bien aux hommes que la soupe de pissenlits. Voire moins!
La théorie est des plus fumeuses, les cas cliniques tirés par les cheveux et cette idéologie, car c'en est une, si elle n'est pas et n'a jamais été meurtrière, a gâché la vie de centaines de milliers d'hommes et de femmes abusés par un vieux beau Autrichien.
Je ne regretterais ni le communisme ni la psychanalyse et me propose même pour jeter les dernières pelletées de terre sur leur cercueil.