L’homme, un publicitaire vieux et dépassé, revendique toutes les campagnes qui marchent ou ont marché et dégage sa responsabilité de toutes celles qui ont été des fiascos pourtant retentissants.
Il écrit ou fait écrire des livres qui battent tous les records d’autosatisfaction et se lisent plus vite qu’un prospectus d’hypermarché. Le personnage, perpétuellement bronzé, est membre des cours républicaines et s’affiche comme un courtisan zélé dont les flatteries sont gênantes tant elles infantiles. Il gravite autour des Présidents de la République (Mitterrand et Sarkozy) comme les mouches devant un morceau de gras. (je ne mettrais pas à son niveau en poussant la métaphore).
Il donne son avis sur tout et tous et oublie de rappeler qu’il s’était fait moucher en beauté par Robert Mitchum, grand acteur américain qui l’avait humilié en public. Dernier ridicule en date, le trublion octogénaire s’est mis en tête de dynamiser un hebdomadaire de fin de semaine. Que croyez-vous qu’il advint ? le magazine en question a perdu le tiers de ses lecteurs !
Ne vous réjouissez pas : il viendra encore longtemps donner son avis sur les ondes ou à la télévision. Ce genre d’individu (Alain Minc, BHL…) bénéficie d’une rente à vie. Malgré leurs erreurs, leur médiocrité avérée et leur absence de résultats ils continuent à être consultés.
Quel dommage que des zéros comme ce Séguéla ne soient pas traités comme ils le devraient : plongés dans le goudron et les plumes et promenés sur un rail !!