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21 décembre 2018 5 21 /12 /décembre /2018 07:00

La chorale qui m'accueille cette année donne, de temps en temps, des récitals en public pour faire plaisir à des associations à but caritatif en plus de ceux, gratuits, qui nous permettent de tester notre niveau, de nous frotter à une (gentille) critique et de passer et faire passer de bons moments.

Dimanche dernier, dans un étonnant et insoupçonnable couvent religieux du centre de Toulouse nous avons Massac... interprété 6 ou 7 chants que nous maîtrisions les mieux. Le "Cantique de Jean Racine" de Gabriel Fauré et "Tollite Hostias" de Camille Saint-Saëns étant, par exemple, convenables en répétitions.

Une association donnait son dîner de Noël et nous étions prévus pour "animer" le dessert par nos harmonieuses harmonies..

Trop d'attente? les effets de la Blanquette? l'abus de chocolats en papillote? la chaleur? l'émotion? les craintes des "nouveaux-nouvelles"? tout cela sans doute. Notre prestation fut, pour moi et quelques autres un peu critiques, ca-la-mi-teuse. Départs ratés, paroles oubliées (notre chef de chœur refuse que nous ayons les partitions en concert et avait choisi des airs en espagnol ("Ay Linda Amiga"), en Italien ("Bella Ciao", en vieux Français ("Le chant des canuts") et en latin. pupitres partant en croisière ou se trompant de ligne, erreurs de notes, voix disgracieuses, absence de suivisme du chef. Un désastre.

Public (très) amateur ou (très très) magnanime nous fûmes applaudis et... bissés.

Il y eut une jolie attitude du chef de la chorale qui scinda la chorale et nous envoya dans le public chanter avec eux. Ils étaient ravis et chantèrent de très bon cœur. Sans relever le niveau, est-il nécessaire de le préciser?

ce soir nous avons le "débriefing" du concert: je crains que les compliment soient rares!

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20 décembre 2018 4 20 /12 /décembre /2018 07:00

J'ai pris en cours une "dramatique" sur le "procès" et la condamnation à mort de la Reine Marie-Antoinette en 1793. Elle était diffusée ce dimanche sur la chaîne Histoire et, bien que tournée manifestement à l'économie, quelques bons acteurs lui conféraient une justesse appréciable. J'ai ainsi reconnu Patrick Chesnais et Daniel Mesguich plus quelques acteurs de second voire de troisième plan.
Les scènes de tribunal étaient bien rendues et l'iniquité de ce procès sautait aux yeux: Comme principe la Révolution devait condamner à mort le régime qui l'avait précédé et donc ses principaux représentants, le Roi Louis XVI, la reine Marie-Antoinette, leur fils, le dauphin et quelques membres éminents de ce qui fut leur cour dont la malheureuse princesse de Lamballe.

Fille du Roi d'Autriche et placée par son mariage sur un trône stratégique Marie-Antoinette n'avait guère la possibilité d'oublier ses origines. Qu'elle ait comploté contre la République une fois la monarchie abattue ne fait aucun doute.

Sa légèreté, sa réputation, ses dépenses et sa funeste influence, si elles furent exagérées et utilisées contre elle comme des glaives achevèrent de la déconsidérer et la livraient au "rasoir national".

La République ne s'honora pas en calomniant la femme et la mère et en l'accusant de turpitudes à la fois grotesques et ignobles.

Tous les témoins de l'époque et même ses ennemis les plus acharnés dirent que ses derniers mois et sa mort rachetèrent ses erreurs passées.

Tout en regardant ce film je me faisais les réflexions que j'étais en train de faire du Stéphane Bern en compatissant pour une Reine et je constatais aussi que les pompes et boursouflures de langage de la république alors dans sa deuxième année m'agaçaient, je constatais aussi des similitudes entre la haine des "tricoteuses" du procès de Marie-Antoinette et les harpies pousse-au-crime (anti-Macron) des ronds-points de la révolte actuelle des gilets jaunes.

Les calomnies et autre "fake-news" (Brigitte Macron dépenserait 10000€ par mois de maquillage) sont les dessins injurieux d'aujourd'hui. Salir sert toujours à désacraliser, premier pas vers la déchéance.

Je voyais aussi comme l'Histoire offre de ces fatalités qui, sur le moment, semblent évitables. Naïve, la Reine détestée croyait encore qu'on "la déporterait"!

 

 

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19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 07:00

J'ai beau ne plus être "un perdreau de l'année" (j'aime cette expression!) depuis belle-lurette je suis parfois abasourdi par notre époque.

J'en veux pour preuve ce que j'ai lu sur le site du "Point" ce lundi 17 décembre 2017. Le groupe Vinci, à qui, en notre nom Dominique de Villepin a offert des bénéfices sur un plateau en prolongeant ses concessions prend prétexte des dégradations faites sur certaines barrières de péage pour utiliser la vidéo et facturer leurs passages à celles et ceux qui avaient profité des barrières levées par les gilets jaunes.

L'Etat va être mis à contribution pour donner les adresses des automobilistes photographiés en "flagrant délit" de non-paiement de l'octroi..

Un opérateur privé peut donc mettre à contribution un service de l'Etat pour des raisons mercantiles. Vinci a tous les droits! et celui de faire payer plus cher les portions d'autoroutes les plus utilisées comme d'augmenter les péages sans autre raison que celle d'augmenter la rémunération des actionnaires (NDLR + 1,8% au 1er février 2019). Je serais un gilet jaune cette prétention à faire payer quand même ceux qui ont vu la barrière levée sans rien demander me ferait retourner séance tenante sur les barrages! Cette attitude est non seulement ingrate mais mesquine.

Le magazine ajoute que Vinci précise que des "automobilistes ont déjà, d'eux-mêmes, contacté les services-clients pour régler leur trajet".
Les bras m'en tombent. Comment elle dit la chanson? "j'suis cocu, j'suis cocu, mais CON-Tent"?

 

PS: le "Huffington Post daté du mardi 18 cite Vinci: "Cette procédure sans doute insuffisamment expliquée, donc mal comprise, a suscité depuis hier un grand nombre de réactions négatives", a reconnu Vinci dans un communiqué. "VinciAutoroutes a décidé de renoncer à son application."

Même "bien expliquée" elle serait restée incomprise!

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18 décembre 2018 2 18 /12 /décembre /2018 08:38

"Il faut bien que tout le monde vive"... est la réponse des personnes à qui je témoignais mon mépris et mon dégoût devant l'ignominie qui a fait diffuser "I Shot The Sheriff" de Bob Marley par la chaîne de télévision BFMTV au moment de la mort du tueur du marché de Strasbourg la semaine dernière.
Je n'ai aucune pitié pour cet homme mais ai du mal à accepter qu'en démocratie on "abatte" purement et simplement un ennemi armé. Je l'ignore mais imagine qu'il existe des possibilités pour le neutraliser sans le tuer..

Pour comprendre cette engeance il me semble qu'on pourrait, ne serait-ce qu'essayer, de maintenir en vie ces tueurs religieux qui ont beaucoup de choses à nous apprendre pour connaître celles et ceux qui les remplacent, leur mode de pensée, leurs buts et leurs faiblesses. Or, quasiment à chaque fois, ça se termine par la mort du terroriste et le "ouf" de soulagement des autorités, de la police et des médias.

BFMTV, ce chantre de la beaufitude replète et contente d'elle-même est un robinet à conneries comme peu ont existé avant lui: il diffuse tout le temps et fait monter la mayonnaise sur tout et n'importe quoi. C'est une entreprise commerciale qui vend de la pub et qui n'a aucun état d'âme. On filme tout, pendant des heures, on flatte tous les côtés malsains des spectateurs mais surtout son voyeurisme et on flatte les instincts les moins reluisants des Français.

Je ne peux pas le prouver mais j'en suis certain: à la chaîne "I Shot the Shériff" (le tueur strasbourgeois s'appelait Cherif) illustrait bien la satisfaction des équipes et le travail bien fait. C'est seulement parce que quelques uns se sont émus de cette méprisable action de diffusion de la chanson que l'on a, maladroitement, fait machine arrière et invoqué une erreur. Le hasard voulait qu'il n'aient tout de même pas diffusé ni "La bonne du curé" ni "Scoubidous" mais bien "I Shot The Sheriff". Qu'ils assument.

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17 décembre 2018 1 17 /12 /décembre /2018 07:00

En vieillissant le temps, qu'on le veuille ou non, nous est compté. Alors que je lisais souvent l'essentiel de la production d'un auteur qui me plaisait je me contente d'un ou deux livres désormais.
Mes goûts ont beaucoup évolué et deviennent moins spécialisés: je crois être maintenant capable de lire "n'importe quoi" et d'y trouver du plaisir.
Attention, n'importe quoi ne signifie pas Christine Angot, Philippe Labro, Jean d'Ormesson ou Philippe Djian. Je suis capable, je pense, de lire un auteur inconnu et qui ne soit pas dans "ma sphère de confort". J'aime beaucoup la littérature étrangère, les auteurs de continents différents et rien ne me transporte plus que de découvrir chez un auteur d'origine lointaine les permanences des sentiments et du ressenti humain.

J'ai, depuis quelques années, renoncé à lire des biographies (ou des autobiographies) qui, je pense, n'apportent pas grand chose et "démystifient" souvent un auteur apprécié.

Pour prendre un exemple récent j'avais beaucoup apprécié la lecture de la réédition du livre "Mes amis" de l'auteur très oublié Emmanuel Bove. Il s'en dégageait un charme suranné et la sensation d'entrer dans l'intimité profonde d'un être sensible et inadapté au monde.
Fort du plaisir éprouvé à lire "Mes amis" j'ai acheté "Mémoires d'un homme singulier" du même. Le livre m'est tombé des mains. Quel ennui, quelle vacuité!

Il y a trop à lire, trop à découvrir pour perdre du temps à tout lire d'un auteur. Même si des gens comme Romain Gary ou George Orwell nous ont formé à cet exercice.

Il résulte de la lecture quasi-complète d'une œuvre une compréhension et proximité avec son auteur qui est parfois fallacieuse: un écrivain est un artiste qui donne de lui l'image qu'il veut et qui censure ce qu'il n'apprécie pas chez lui-même. 

En fin de compte il me semble que chez certains auteurs la lecture de 3 ou 4 de ses livres est utile tandis que chez d'autres un seul suffit.

Un style d'écriture, des idées récurrentes et nous sommes en terrain familier.

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14 décembre 2018 5 14 /12 /décembre /2018 07:00

Chez le dentiste il y a un vaste choix de magazines, tous les goûts et toutes les tendances politiques pouvant trouver quelque chose à leur goût.
Cette semaine c'est la couverture de "l'Express" s'interrogeant sur l'impopularité du Président Macron qui confinerait à la haine qui a retenu mon intérêt.

L'Express, comme le Point a connu des temps fastes. Puis une dégringolade continue en passant de propriétaires stupides (Jimmy Goldsmith) à des rédacteurs en chef pitoyables (Christine Ockrent, Christophe Barbier). Sa chute de qualté, vertigineuse, est pratiquement achevée: de là où le magazine est actuellement il n'y a plus d'espoir de remontée, de renouveau ni même d'amélioration.

L'article "vendeur" annoncé en couverture est un exemple formel de ce qui est détestable en journalisme depuis plus de 20 ans: un article qui pourrait être intéressant mais qui reste au raz des pâquerettes: des "on dit", des citations sans intérêt ni valeur, l'appel aux têtes à claques qui donnent leur avis en boucle dans tous les médias de l'hexagone (sondeur, patron d'Elabe, analystes de sondages...) et, au final un article qui n'apporte RIEN. Rien, strictement rien.

Un lycéen de 6ème, à condition qu'il pose son téléphone 5 minutes et pas pour aller saccager des abribus ferait aussi nul. Voire mieux.

Après cet article désastreux il n'y avait pas (encore) la page de Jacques Attali, non, il y avait un article un peu moins tarte sur le ressenti de Macron de son impopularité. Ca se lit, bien sur, mais une fois le journal reposé on se demande ce que sa lecture nous a apporté. (voir fin du § 5).

Pire encore il faut lire les journaux et les magazines quelques mois ou semaines après leur parution. Tout ce qui est reproché au Président ces jours-ci et tout ce qui est contesté sur le plan économique, le Point n°2406 du 11 octobre 2018 en fait l'apologie! Macron, "le teigneux" (couverture) n'était pas encore complètement l'homme à abattre.

Il y a largement mieux à faire que lire cette presse dévaluée qui a oublié jusqu'à sa raison d'être.

 

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13 décembre 2018 4 13 /12 /décembre /2018 07:00

Mon fils qui y vit depuis plus de huit ans et en a récemment acquis la citoyenneté a coutume de dire qu'il vit dans un pays -le Québec- qui se rapproche du fameux "pays des Bisounours".
Ce pays des ours de couleurs est censé être le paradis sur terre ou, à tout le moins, un endroit où les rapports humains sont pacifiés plus qu'ailleurs.

A chaque fois que je vais le voir, lui et sa famille, je constate à quel point il a raison et combien curieuses sont pour un Français les mœurs apaisées des "hurons" de la (très) belle province.

Le tutoiement y est quasi immédiat mais allie déférence et intérêt. Le "bonjour" de politesse est presque immédiatement suivi d'un surprenant: "tu vas bien?" souvent prononcé avec cet accent qui interdit presque l'agressivité.

Les commerçants sont aimables sans en faire trop, la politesse est une règle et tout, dans la société, semble lubrifié par un alliage de politesse et d'intérêt pour les autres.

Imaginez ma surprise, dans les transports en commun, de ne pas être broyé par les poussettes vindicatives ou les sacs à dos agressifs! chacun essaie de prendre le moins de place possible. La planète Mars! Personne ne beugle au téléphone...

Le marchand de "coques" pour téléphone ne possède pas celle qu'il me faut? il me donne l'adresse de son concurrent qui "en a peut-être"! le croissant du matin n'est pas très bon? qu'à cela ne tienne, on m'a offert café et "roulé aux raisins" en dédommagement.

La circulation en auto est calme et sage, pas de klaxon intempestif ni de sirènes de police permanentes. Un autre monde.

Le seul revers de la médaille reste la longueur et la rigueur de l'hiver: mais une civilisation aussi reposante vaut bien un froid mordant!

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12 décembre 2018 3 12 /12 /décembre /2018 08:17

Les médias Français ont choisi leur camp. Par souci mercantile et pour occuper les antennes ils trouvent (presque) toutes les vertus aux "gilets jaunes" et, partant, à ceux qui sympathisent ou s'agglomèrent à leurs mouvement protéiforme.

En l'occurrence les lycéens qui n'ont qu'un rapport pourtant lointain avec les taxes sur le gazole, la hausse de la CSG sur les retraites et la suppression revendiquée du Sénat (?!???!!!!).

Leur Bac et sa Nième réforme les fait sortir de leurs bahuts et ils arrêtent les bus et les tramways, en attendant mieux.

Je ne dis pas, loin de là, que les colères sont illégitimes et que les lycéens n'y trouvent pas là matière à lâcher leur téléphone pour se croire Che Guevara mais je me demande juste si cette agitation va vers quelque chose.

Le fait que les facteurs de mon quartier aient été molestés, leurs vélo volé et le courrier partagé entre leurs assaillants et le reste jeté au sol me fait me demander si cette "colère" est autre chose que l'envie d'en découdre une fois que le pouvoir a montré sa faiblesse.

Se partager les colis et paquets du facteur; la "Révolution gilet jaune" est en marche!

 

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7 décembre 2018 5 07 /12 /décembre /2018 07:00
Peter GabrielPeter Gabriel

Il y a quelques années j'aimais beaucoup Peter Gabriel, chanteur britannique inspiré qui faisait une musique recherchée, compliquée, pas évidente mais jamais prétentieuse.

Ancien chanteur du groupe de rock progressif  Genesis qu'il quitta après leur meilleur album ("The Lamb Lies Down On Broadway" 1974) et la tournée qui suivit sa sortie, Gabriel obliqua immédiatement et composa des disques surprenants et uniques à chaque fois différents, à chaque fois intéressants.

Outre son son Gabriel marqua les esprits par l'inventivité des clips qui accompagnaient ses chansons les plus connues. Homme de goût il travailla avec des chanteuses comme Kate Bush et Sinead O'Connor et des chanteurs comme le Sénégalais Youssou n'Dour. Excusez du peu!

Souvent il trouva l'inspiration dans des causes admirables dont "Biko" reste l'étendard. (Steve Biko était un leader non-violent de la lutte anti-apartheid en Afrique du Sud et fut tabassé à mort par la police en 1979, sa chanson date de cette époque).

Gabriel, qui fut un des principaux adeptes de la "world Music" produisit ou publia de nombreux artistes sur son label (Geoffrey Oryema, entre autres). Il évolua et maintint un contact solide avec un public... dont je ne fais pas partie.

J'ai lâché ce brillant auteur-compositeur à l'époque du disque "Ovo" qui ne m'a pas plu. Le suivant non plus d'ailleurs.

Sur "Spotify" j'ai entendu des cHoses plus récentes qui m'ont laissé froid et des choses anciennes qui m'ont ravi.

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6 décembre 2018 4 06 /12 /décembre /2018 07:00

Il y a 4, 5 ou 6 ans Michel Polnareff est venu en France donner quelques concerts en France. L'accueil critique et public fut éblouissant. Dithyrambique même.
Ceux qui le virent sur scène en firent un compte-rendu sincère des plus élogieux.

Le chanteur exilé bénéficia alors d'une conjonction de planètes favorables: Johnny Hallyday n'était pas encore déifié, Sardou faisait du théâtre de boulevard et les autres chanteurs Français faisaient la queue devant chez Benjamin Biolay pour avoir un titre qui se vende. Ses lunettes suffirent pour l'identifier: Trenet c'était l'appareil dentaire tandis que d'autres avaient un chapeau comme signe de reconnaissance.

Voilà que le même Polnareff revient, un vinyl moche sous le bras. La critique lui tombe dessus! elle n'aime pas dire du bien de quelqu'un, surtout d'un artiste, dans un délai trop rapproché. Je ne sais pas ce que vaut le disque mais certainement mieux que les critiques assassines que j'ai lues ou entendues.

Cette année on casse du bois sur le dos de Polnareff. Son disque est une purge, il ne s'est pas foulé, travail salopé, zéro, go back to USA!

Ces critiques, qui écoutent Dylan, Keith Jarett, Schumann ou Ravel dans leur voiture mais font semblant d'aimer Maître Gims ou Orelsan ont décidé que Polnareff, 74 ans ("quelle horreur") devait passer sa route.

Mais pas Mlle Vartan qui, sans honte, sort ces jours-ci sa version de chansons de son ex.

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