Je commence à saisir le fond du problème de ce qu'on appelle "le renvoi d'ascenseur" entre la presse et toute une série de prestataires de services, de vendeurs de CD, de cinéastes, de fabricants ou d'éditeurs...
Sans qu'ils m'ait rien demandé et sans que je lui ai rien demandé les éditions Vendémaire (joli nom) de Paris m'ont adressé, suite à un post paru ici-même un beau et sans doute passionnant bouquin "Dictionnaire du cinéma Fantastique et de Science Fiction".
J'étais hier à la très déconnante "Zombies Walk" de Toulouse. Je lis dans le dico ce qui est dit sur les morts vivants et autres zombies et j'y reviens.
Mais un journaliste qui reçoit des places en avant-première, un beau livre ou des invitations dans un restaurant sera t'il aussi "objectif" lorsqu'il en parlera?
C'est la deuxième fois que mon maigre blog (en termes de lectorat) me fait bénéficier d'un "service de presse". Je n'ose imaginer ce que doivent être ceux des médias ayant pignon sur rue à défaut du respect de leurs lecteurs...