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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 17:58

Je suis comme beaucoup, dans ce pays, un peu fatigué qu'on parle toujours

des histoires qui se sont passées il y a 60 ans et plus.

La défaite de 1940, l'occupation, les camps... Je comprends le "devoir de

mémoire" mais je serais assez pour qu'on fasse une pause dans le rappel

permanent de cette histoire.
On s'étonne que les Français soient dépressifs mais on passe son temps

à leur rappeler leurs lâchetés passées, leurs saletés pendant les guerres

(2ème Guerre Mondiale, Guerre d'Algérie...) et à les culpabiliser pour des

actes ou actions commis par les générations précédentes.

On ne peut vraiment se projeter dans le futur si à longueur de temps on

ressasse le passé.
Avec la polémique stérile sur l'écrivain L.F Céline on vient encore de nous

rejouer la collaboration, les écrits fascistes et les indignations des gens qui

sont du bon côté.
Soixante dix ans après et en pleine paix ce n'est pas trop difficile d'être

résistant! ni de se donner des médailles imaginaires ni, surtout, de se placer

du bon côté.

L'explication commode pour la grotesque et honteuse dérobade du pouvoir

devant l'insurrection tunisienne: notre passé de pays exerçant son protectorat

sur la Tunisie nous a aveuglé et contraint à ne rien faire.

C'est ainsi. Pour 1 idée prospective on a droit à 3 retours sur le passé, de

préférence douloureux.

Comment pourrions nous oublier des faits auxquels on se réfère en permanence?
La SNCF contrainte de battre sa coulpe pour le transport des juifs vers les camps

de la mort c'est en 2011 que ça vient de se passer!

Je trouve qu'on devrait refuser cet amalgame permanent qui est fait entre les

années noires et aujourd'hui.

les Français du XXIème siècle sont informés, cultivés, modernes, ils voyagent, ils

ont accès à mille sources d'information, ils sont concernés et ouverts au monde

et aux souffrances des autres. Pourquoi les comparer à leurs ancêtres qui

n'étaient rien de tout cela dans un pays agricole et inculte?

 

 

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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 09:10

Dans mon très proche entourage il y a un jeune homme (si je dis

un homme jeune il va se vexer!) qui suscite mon admiration.
Comme il a hérité d'une partie de mon bagage génétique j'étais

en droit d'être inquiet sur ses dispositions

- à être heureux

- à le rester

- à avoir des relations humaines cohérentes (=suivies)

- à s'insérer dans le monde ardu du travail

- à y rester.

Contre toutes (mes) craintes il réussit dans tous ces points et au

delà de mes espérances les plus folles.

Voilà un young boy qui a un "catalogue" à faire frémir celui de Don

Giovanni dans l'opéra du même nom (quoi que les donzelles soient

surtout issues de Midi-Pyrénées), qui a su s'arrêter de papillonner

 quand il le fallait et se faire aimer d'une fille particulièrement bien,

voilà un type qui a déjà un CV professionnel à faire tomber en pâmoison

n'importe quel recruteur: pensez donc une expérience dans des

domaines divers et variés, réussie et à laquelle il a à chaque fois mis fin

de lui même et de son plein gré,

Un carnet d'adresses que lui envierait Meetic, Vivastreet, Viadeo et même

les services secrets chinois,

Et une personnalité attachante.
Je n'ai pas réussi grand chose dans ma vie (façon de parler!) mais lui,

 mon fils, je suis assez content de moi.
.....Il faudra que je vous parle, un de ces jours, d'une autre de mes fiertés.
Jolie, intelligente, spirituelle, artiste. Cette jeune femme (elle si je dis une

femme jeune elle va se froisser!)..........

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 17:05

J'ai connu de nombreuses entreprises. La plupart étaient des PME de plus de 200

salariés.
Toutes, peu ou prou, possédaient sans le savoir ce qu'on appelle pompeusement

une "culture d'entreprise".
Cet indéfinissable objet prend en compte une atmosphère qu'on ressent dès l'entrée

dans l'ascenseur, un vocabulaire qui lui est propre et une atmosphère spécifique.
On ne parle pas "business" de la même manière dans l'industrie ou le service.
On ne parle pas identiquement des vacances, des salaires, du travail et des

relations de travail dans une entreprise dont le siège est à Cholet (49) ou à Paris 16ème.

Aujourd'hui je suis dans une très grosse PME, une entreprise florissante dont la

moyenne d'âge est très jeune et dans laquelle presque tout le monde est cadre.
Ah! cette notion de cadre en France..............................

Mais ce n'est pas le sujet.
Je voudrais simplement traiter de 2 traits distinctifs de l'entreprise qui a la chance de

m'employer (En est-elle seulement consciente?).
Cette société use et abuse des abréviations. Ces abréviations ont, de plus, déjà une

existence à l'extérieur mais dans un tout autre dommaine!

L'autre est sa propention à utiliser un vocabulaire qui se répand comme une traînée

de poudre et qui se démode aussi vite qu'elle est devenue incontournable.
Lorsque je suis entré dans la boîte tout faisait sens.

Ensuite le mot Corporate a été utilisé pour tout et n'importe quoi.
Il ne suffisait pas d'être réactif, non, il fallait être pro-actif.

2010 a été l'année de pro-actif. Tout le monde avait intérêt à être pro-actif. L'actionnaire

ne rigolait pas et les non pro-actifs étaient promis aux délices du pôle-emploi.
En ce début 2011 j'ai entendu tellement de fois ce mot que je sais que c'est lui: upgrade.

On le conjugue: "cette action va upgrader nos résultats", on le transforme en adjectif:

"c'est une action upgradante".

Quitte à être corporate ça aurait fait sens qu'on soit pro-actif avec moi et qu'on upgrade

mon salaire!

 

 

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 12:00

Allez! je vais reprendre mon rôle de vieux grincheux!

Je trouve plutôt satisfaisant que les expositions soient prises d'assaut, que les

livres d'art se vendent et que certaines rétrospectives soient d'immenses succès.
Mais.................................

Je ne peux m'empêcher de dire que beaucoup de ceux qui s'y rendent ne vont

pas à la rencontre de l'art mais à un endroit où il faut avoir été.
Comme les files de cinéma qui s'allongent devant les mêmes films, comme les

livres et les disques qui se vendent et qui ont été fortement "conseillés" les

contemporains se ruent à des expositions sans s'y être préparés et même sans rien

y comprendre.
Ils passent plus de temps à l'inévitable boutique, à acheter des mugs décorés ou

des plateaux reproduisant une oeuvre qu'à l'exposition même.

Ils visitent au pas de course, s'arrêtant plus longuement devant les "tubes" (c'est

à dire les toiles ou les sculptures les plus connues) et écoutent l'oeil vide, les

explications fournies par l'audio-guide.
Ils ont troqué leur téléphone ou leur lecteur mp.3, l'espace de quelques temps, 

contre une voix métallique qui leur mâche le travail et qui pense pour eux.
Robotisés, fanatisés, ils ressortent de l'exposition, tous avec les mêmes idées et

commentaires, une sorte de prêt-à-penser artistique pas nul mais pas très recherché.

On ne parle pas, dans la presse, d'une exposition bien éclairée, d'un choix de

présentation intelligent ou même de parti-pris contestables; on parle de nombre de

visiteurs, de prix d'entrées, de succès par rapport à d'autres expéditions-monstres

bref on est plus dans l'économie que dans l'art.
Ca ne surprendra personne puisque l'art est maintenant et plus que jamais une

donnée marketing, publicitaire et économique.
Un peintre n'a pas de talent s'il ne "vend" pas. Un peintre ou un sculpteur ne plaît

que s'il dérange, et l'attaché(e) de presse est finalement plus sollicitée que l'artiste

qu'il ou elle représente.
Alors l'expo Monet a fait X milliers d'entrées? la belle affaire... Combien ont été dans le

calme voir l'exposition permanente de ses toiles que fait le musée Marmottan à Paris

le reste du temps?

Jeff Koons a fait venir des visiteurs à Versailles? ceux qui sont venus sont-ils le public

qui respecte l'écrin dans lequel on le leur a donné à voir ?

Poser la question c'est déjà y répondre...

Le film "Bean" avec Rowan Atkinson en Mr. Bean escortant une peinture de retour aux

USA était bien moins caricatural qu'on ne le pensait. Et les américains ne sont pas plus

"beaufs" en ce domaine que nous ne le sommes.

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 09:51

Des années après son succès il est de bon ton de dénier au film de James

Cameron "Titanic" toute qualité.
Nous sommes plus de 20 millions de Français à avoir vu "les Ch'tis" et, à

écouter ceux qui nous entourent, personne n'est allé le voir.
Idem pour "Avatar" du même Cameron. Il a battu des records de nombre

d'entrées, beaucoup ont été sous le charme de ces personnages bleus aux

cheveux électriques au moment de sa sortie.
Il est de bon ton, aujourd'hui, de ricaner sur le "message" du film et sur les

fleurs ou autres en 4D.

C'est un trait caractéristique de notre pays. On a honte du succès populaire.
Un peu comme s'il s'agissait de quelque chose de grossier, de vulgaire

même.

La petite brochure "Indignez-vous" de stéphane Hessel a connu, d'abord,

une sorte de satisfecit de la presse "qui pense". Enfin disait-elle, un homme

se révolte et sa révolte est entendue.
Maintenant qu'il a dépassé les 500000 exemplaires les critiques se font plus

nombreuses et surtout plus hargneuses.
Des chanteurs ou des chanteuses ont connu cet ostracisme façon "Télérama".
Maudit (e)s, quasi inconnu(e)s vous bénéficiez d'un préjugé favorable.
Les trompettes de la renommée s'emparent de vous : vous êtes bon(ne)s à

jeter aux rebuts.
En réalité tout n'est pas si manichéen. Il y a des célébrités qui méritent leur

succès public et des inconnus qui gagneraient à ne pas à sortir de leur relatif

anonymat.
Ceux qui, comme notre Président de la République, ne s'inclinent que devant

le succès financier d'une oeuvre (Marc Levy et ses romans par exemple...) ont

tort, mais ceux qui célèbrent uniquement l'insuccès aussi.
Et, pour en revenir au début de ce sujet, "Titanic" était un beau film d'aventure,

"Les Ch'tis" une franchouillardise pas désagréable et "Avatar" un objet filmé

non identifié assez bluffant.
...Certes pas signé par Jean Luc Godard ou Woody Allen, les 2 idoles des

anti-succès.

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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 10:50

De temps en temps je tombe de l'armoire.
Je suis abasourdi par ce que je lis et n'en crois pas mes yeux.
Il s'agit de "l'encyclopédie en ligne" Wikipédia.
Cet instrument est censé remplacer le dictionnaire classique et informer le

lecteur sur tous les sujets.

Je dis "censé" parce que beaucoup, désormais, s'en remettent à lui, à

l'exclusion de tout autre source.
Lorsque l'on maîtrise bien un sujet, justement, on ne peut qu'être surpris

par l'à-peu près qui se dégage de Wikipédia.
Non que les informations soient fausses. La plupart du temps elles ne le

sont pas.
Elles ne sont tout simplement pas rigoureuses. Elles survolent le sujet en

privilégiant le côté superficiel et anecdotique des choses.

On y trouve les références basiques qu'on peut trouver partout et aussi la

confirmation ou le rappel des lieux-communs les plus éculés.
En fait Wikipédia devrait être utilisé comme une chose qui dégrossit le sujet.

Après il faudrait approfondir et, sinon lire un vrai livre sur le sujet abordé, au

minimum un article documenté de dictionnaire ou d'encyclopédie.
Lorsque l'on lit sur Wikipédia qu'Adolf Hitler était un "homme d'état allemand",

par exemple, on se dit que les pincettes restent nécessaires pour l'utiliser.

Ce qui me fait un peu peur, je le confesse, c'est qu'une génération se

documente exclusivement sur "Wikipédia".
Elle aura l'équivalent de le culture des animateurs de télévision ou de pigistes

de revues spécialisées (la presse sportive, par exemple, recycle en permanence

une quinzaine de clichés historiques, toujours les mêmes).

Celà dit dans l'océan de vulgarité et de bêtise qui baigne notre époque, à l'heure

où un Dechavanne, un Cauet ou un Anelka gagnent 100 fois plus qu'un chercheur

il ne faut pas trop demander...

 

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 10:45

On ne s'est pas forcément préparé à voir ses parents vieillir interminablement.
De même on n'avait pas pensé que l'un d'entre eux serait atteint de la maladie

d'Alzheimer et qu'on le verrait décliner aussi complètement et aussi rapidement.

Les listes de livres qui se vendent sont remplies de "témoignages" (un mot à la

mode) de personnes qui vivent cette difficile période et qui voient, consternés,

leur rôle évoluer au point de devenir les parents de leurs parents.

Ce qui est très pénible c'est de constater, que les parents, avant de devenir faibles

et malades, continuent de nous voir comme si nous étions encore enfants et

nous font des reproches insupportables.

Etre obligé de se justifier alors qu'on a élevé soi-même ses enfants, être dans la

nécessité de ménager les susceptibilités parentales et essayer d'arrondir les

angles sans pouvoir dire tout ce qu'on a sur le coeur est un exercice prométhéen.

 

La mauvaise conscience qu'on a lorsque l'on répond un peu méchamment,

lorsque l'on ne peut plus se retenir et qu'on "lâche" une reflexion désagréable,

les contorsions qu'on est obligé de faire pour rester gentil et à l'écoute alors qu'on

connaît au-delà de par coeur les ressorts qui animent le parent en question....

 

On nous vante les centenaires dont le nombre explose. Sincèrement je les plains

et je plains leurs enfants.

Evidemment on ne souhaite pas qu'ils disparaissent et leur mort est une pensée

douloureuse et inacceptable.
Les supporter et entendre les jérémiades qu'on entendait lorsqu'ils étaient les

adultes référents n'est pas moins intolérable.

Mon Dieu.... faites que je disparaisse avant 64 ans 3/4.

 

 

 

 

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 21:19

On ne se voit pas et c'est vraiment dommage. Surtout, c'est ce

qui m'intéresse aujourd'hui, on ne voit pas comment on agit

soi-même et comment il nous arrive parfois de nous conduire de

façon discutable.
J'essaie, tous les jours, de faire attention aux autres et de ne

pas blesser quelqu'un par inattention.

J'étais en rendez-vous professionnel ce matin avec la Directrice des

Ressources Humaines d'un grand groupe et un jeune collègue

m'accompagnait.
La personne avec qui j'avais rendez-vous est venue avec une de

ses homologues. 2 autres femmes de l'entreprise nous ont rejoints.

Sans même m'en rendre compte j'ai interprété les rôles et postes

de chacune.
Mon collègue m'a dit, après le rendez-vous, que je n'avais pas accordé

plus de 20% de mes regards aux deux dernières arrivées.
Dans mon esprit, parce qu'elles m'ont vaguement été présentées,

parce qu'elles ne prenaient pas de notes et parce qu'elles n'ont posé

aucune question c'étaient 2 "sous-fifres".
Et donc je les ai ignorées.
Je suis donc bien -et comme tout le monde- plein de préjugés et

me donne bonne conscience en faisant superficiellement attention

aux autres.

Je ne bats pas ma coulpe, je constate que j'ai encore des progrès à

faire.
Il y a très longtemps une fille dont j'étais amoureux était venue me

voir à la campagne chez mes parents.
Mon père n'était pas, à proprement parler, en tenue de "gentleman-farmer".

J'avais dit à la fille en question de ne pas lui dire bonjour.
J'avais précisé que c'était....le jardinier!

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 18:34

Remplacer le petit Président à l'égo surdimensionné, ami des riches et des puissants, auteur d'une politique unilatérale à destination de ses ayants droit libéraux par un (gros) Président, ancien Président du F.M.I, ami des riches et des puissants, milliardaire lui-même, aussi déconnecté du "pays réel" que l'actuel locataire de l'Elysée et trouvant  plus qu'acceptable la gestion de la Tunisie par le clan Ben Ali...?
Je sens qu'il va y avoir une certaine abstention si c'est là le seul choix qui nous est proposé en 2012.

 

 

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18 janvier 2011 2 18 /01 /janvier /2011 08:57

Les palinodies gouvernementales autour de la révolution en cours en

Tunisie ont laissé la forte impression qu'au sommet de l'Etat on ne le

trouvait pas si mal ce Ben Ali, tout comme son régime.

Entre Alliot-Marie qui proposait des formations accélérées aux forces

de police tunisienne pour mater la rébellion et d'autres qui, sans la

moindre pudeur, agitaient l'épouvantail islamiste on a eu droit a une

belle leçon de "Réalpolitik".
Je précise à l'intention de ceux qui ne connaissent pas ou plus le

terme, ça signifie: on se couche devant les dictateurs, quels qu'ils

soient et on donne des leçons de morale à ceux qui essaient de

gouverner sans trop dérailler.
Avec ce système on invite Khadafi à camper sur les pelouses de

l'Elysée mais on fronce les sourcils devant les vélléités de pêche à

nos frontières appuyées par le gouvernement espagnol.

Une politique de Gribouille.
Comme, malgré des médias incertains, (on ne savait pas si ça allait

réussir!) cette politique de soutien à Ben Ali a fini par sauter aux yeux

les faiseurs d'opinion ont trouvé la parade: nous donner mauvaise

conscience à nous, le peuple, en nous reprochant d'être allé prendre

des vacances pas chères au pays de la dictature.
Toute la journée d'hier et ce matin encore, France Inter a ainsi dédouané

le gouvernement, les officiels, les autres (Delanoë...) en disant en

quelque sorte: "oui, ils n'ont pas dénoncé la dictature mais lorsque vous,

touristes français, vous bronziez à Djerba, vous l'approuviez aussi.".
Un discours honteux et même dégueulasse.

Que des Français aillent au Maroc, en Tunisie, ou ailleurs c'est une façon

de ne pas isoler un pays et d'apporter des devises indispensables à la

population.
Ce faisant il n'était pas question d'approuver la dictature qui, effectivement,

était partout visible et pesante.
Rien à voir avec les abjectes propositions d'Alliot-Marie, les coups de fil de

Eric Raoult  à Ben Ali sur l'air de "tenez bon" et les considérations faux-cul

des membres du gouvernement et du maire de Paris.
Quant à Frédéric Mitterrand on ne peut lui jeter la pierre: on sait depuis

longtemps qu'il prend son plaisir avec des boxeurs thaïlandais de plus de

40 ans. Sans doute le prenait-il aussi avec des boxeurs quadragénaires

tunisiens!

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